Expérience culinaire n°8: Le taro

Encore un tubercule et cette fois il n’oscille pas entre une racine et autre chose. Bon j’avoue, je croyais que ça allait être une sorte de champignon mais rien à voir, le taro se cuisine comme une pomme de terre.

Quelques petites différences : cru, il est toxique et quand on l’épluche il se « défend », non il ne se met pas à bouger ou a donner de petits coups, il émet simplement un liquide épais qu’il ne vaut mieux pas goûter. Bref, avant même de commencer, ce tubercule fait déjà chier : il faut l’éplucher sous l’eau et de préférence avec des gants (il paraît), je n’avais pas de gants mais mes mains n’ont pas été attaquées pour autant, en cherchant bien, ça gratte un peu mais rien de plus. Pas si facile à éplucher en plus.

Bon après, j’en ai fait des rostis et… bah ça goûte le rosti, ni plus, ni moins, aucune différence avec une pomme de terre, peut-être un chouia plus sucré.

Aucune surprise, aucune révélation.

Bon bah ce sera tout pour la taro expérience, j’aime autant continuer avec des pommes de terres et des patates douces (d’ailleurs il y a plusieurs sortes qu’il faut que je teste).

C’est tout pour cette fois, j’ai quand même bien mangé^^